Cabinet Bertrand

Nos quartiers

L’HISTOIRE DU CHATEAU DE THOUARE

 

 

 

 

 

 

 

Le Château de Thouaré a occupé une place prépondérante dans l’histoire de la ville. Ses titulaires, fondateurs de la Paroisse exercèrent jusqu’à la Révolution Française des pouvoirs étendus. Profondément remanié pendant le 19ème siècle le château constitue l’un des éléments essentiels du patrimoine communal.

D’après Léon Maître, archiviste nantais du 19ème siècle, Thouaré tirerait son étymologie du nom d’un légionnaire romain, Taurus, qui se serait établi en cette contrée pour y fonder une riche villa telle que les conquérants avaient coutume d’en créer aux abords des villes soumises aux aigles romaines. Taurus aurait ainsi fait Tauriacus, que le moyen-âge transforma au gré des rédacteurs successifs en Thoaré, thoyaré, touaré, thoaret, thoairé puis Thouaré.

Au 9ème et 10ème siècle, très probablement, une motte féodale s’éleva à la place des constructions romaines ; au début du 13ème siècle, la châtellenie de Thouaré est d’ailleurs appelée dans les actes « la Motte ». Ce n’est que beaucoup plus tard qu’elle fut désignée sous le vocable de « la tour ».

Depuis un temps immémorial, le seigneur de Thouaré était qualifié de fondateur de la Paroisse avec droit de banc et d’enfeu (sépulture) dans le chœur de l’Eglise. Il exerçait le droit de haute justice (peine capitale), moyenne et basse justice sur ses sujets.

Les possesseurs de la châtellenie de Thouaré nous sont connus grâce aux recherches effectuées au siècle dernier par Monsieur Senot de la Londe :

En 1254, elle appartient à Guillaume de Thouaré.

En 1378, elle devient propriété des d’Ussé en Touraine.

A partir de 1393, Gilles d’Elbiest l’acquiert et la conserve en sa maison pendant près de deux siècles.

Au début du 16ème siècle la Châtellenie entre par le mariage de Marguerite d’Elbiest dans la famille de Saint-Amadour, et passe de celle-ci, également par alliance, dans la maison d’une branche cadette des ducs de Bretagne. Charles de Bretagne, comte de Vertus et baron d’Avaugour devient seigneur de la Tour de Thouaré en 1560. Cinq ans plus tard il reçoit le roi de France Charles IX qui se rend à Nantes en venant de la Chebuette en Saint-Julien-de-Concelles.

Une petite fille de Claude de Bretagne, Anne d’Escoubleau, épouse de François de Simianes, Marquis de Gordes, vendit le château en 1657 à Anne Descartes, demi-sœur du grand philosophe.

En 1704, Joseph Mosnier, conseiller du roi l’acquiert et le conserve dans sa famille jusqu’en 1864, époque à laquelle la maison de Mosnier s’éteint.

Le château de la fin du 18ème siècle nous est connu par le plan qu’en dressa Antoine Henon en 1765, et par la description qui en fut faite lorsque la propriété fut vendue comme bien national le 4 Vendémiaire an V, en raison de l’émigration de Jean Joseph Augustin de Mosnier.

En 1864, le château devint propriété de la famille Césard, armateurs spécialisés dans le commerce du sucre. Les nouveaux maitres des lieux introduisirent dans l’Antique demeure le confort moderne et procédèrent à d’importantes et parfois contestables transformations.  On leur doit ainsi les charpentes métalliques du colombier redécouvertes récemment à l’occasion de travaux de rénovation. A la suite de revers de fortune, les Césard durent vendre le château.

Celui-ci passa enfin dans les mains de la famille Mathieu de Vienne à partir de 1882, qui l’habitait encore en 1985.

Dans sa configuration actuelle, le château qui se situe dans un grand parc verdoyant avec de magnifiques arbres centenaires est privé ; il accueille toute l’année des réceptions et des séminaires haut de gamme pour votre plus grand plaisir !

Pour réserver : Demandez Aline au 06.35.43.77.03

receptions@chateaudethouare.com (particuliers)

seminaires@chateaudethouare.com (professionnels)

 

 

 

 

 

 

 

LE PASSAGE DEVASTATEUR DES VIKINGS A NANTES

Le meurtre de Saint-Gohard – Cathédrale de Nantes ; La guérison par la tête – Eglise Saint-Similien de Nantes; Barbetorte l’assoiffé – cours des Cinquantes-Otages – parc du musée Dobrée.

Le meurtre de Saint-Gohard – Cathédrale de Nantes

« Au IX et Xème siècles, les Normands pillent, tuent, détruisent tout sur leur passage puis repartent vers l’Océan jusqu’à l’attaque suivante. Le 24 juin 843, les terribles drakkars accostent encore. Effarée, la population tente de fuir. Beaucoup se réfugient dans la cathédrale, sanctuaire théoriquement inviolable. Mais les Normands n’ont pas ces principes. Ils forcent l’entrée de la cathédrale, massacrent les fuyards, et égorgent l’évêque Gohard et ses compagnons au pied de son autel.

Une légende prétend qu’il ramassa alors sa tête à la façon d’un saint Denis céphalophore, pour rejoindre la Loire, la remonter à bord d’un bateau sans voiles ni rames, afin de rallier Angers, sa ville natale, et s’y faire enterrer…En tout cas, le meurtre de Gohard, lui, est bel est bien attesté, et un grand tableau d’Edouard Jolin commémore cet évènement dans la chapelle éponyme de l’aide nord de la cathédrale ».

La guérison par la tête – Eglise Saint-Similien de Nantes

« En 848, les Normands pillent une nouvelle fois la ville. Les églises, sources de richesses et de trésors, sont mises à sac. Le butin d’un de ces soudards n’est autre qu’une riche châsse contenant des reliques de Saint-Similien, en l’occurrence sa tête. Le Normand garde la châsse et se débarrasse de son contenu, jette la tête dans le puits qui se trouvait à l’intérieur même de l’église Saint-Similien.

Les eaux s’en trouvent aussitôt miraculeuses, soignant tout particulièrement « les maux de tête, la mauvaise vue, l’ouïe paresseuse, et la perte de la parole » ; croit savoir Girault de Saint-Fargeau dans son ouvrage « Histoire nationale et dictionnaire géographique de toutes les communes de Loire-inférieure », publié en 1829. »

Barbetorte l’assoiffé – cours des Cinquantes-Otages – parc du musée Dobrée

Sur le cours des cinquantes otages, à droite, l’angle de la rue Pré-Nian et de l’allée d’Orléans rappelle par deux plaques la victoire d’Alain Barbetorte, Alan Barvek, sur les Normands en 937. Le combat eut lieu dans ce pré Nian où se tenaient joutes et tournois. Le combat est rude. Ses adversaires l’ont presque réduit à la défaite, mais, miracle : grâce à une source prodigieusement jaillie pendant la bataille, les gens d’armes de Barbetorte recouvrent des forces dans l’eau pure, assez pour mettre en fuite le hardis Normands. Sur la plaque en breton « da dad ar vrio Breizh ha naonet adsavet » signifie «au père du pays breton et nantais retrouvé ». Le parc du musée Dobrée garde la statue de Barbetorte, scupltée par Amédée Ménard en 1861

Extrait du livre passionnant « guide secret de Nantes et de ses environs », Nicolas DE LA CASINIERE, éditions ouest-France.  A dévorer sans hésitation auprès de votre librairie nantaise !

Nantes: Le Quartier Saint Clément

 
NANTES – QUARTIER ST CLEMENT

Quartier « cool et animé » de Nantes !

Quartier jeune et dynamique, développé autour de l’Eglise St Clément avec proximité immédiate à l’hypercentre de Nantes.

Convoité pour son esprit artistique, ce secteur est entouré par le château des Ducs de Bretagne, la Cathédrale de Nantes, le Musée des Beaux-arts, le jardin des Plantes et l’île Versailles.

Ce quartier privilégié, composé d’immeubles anciens de caractères de moyennes hauteurs, bénéficie de toutes les commodités avec de nombreuses boutiques de proximité, et l’accès direct à la gare de Nantes et aux transports.

Typologie de logement :

 Immeubles anciens de moyennes hauteurs.

Quelques rares maisons anciennes.

Les commerces :

Tous types de commerces de proximité principalement implantés autour de la rue du Maréchal Joffre (boulangerie, boucherie, poissonnerie, vêtement, couture, fleuriste, banque, épicerie, restaurant, tabac-presse, bar, restaurant, esthéticienne, librairie, coiffeur, pharmacie, école de conduite, disquaire, laverie et service étudiants, mini-market, kinésithérapeute, homéopathe, droguerie, etc…).

Transports :

Gare SCNF à 600 m.

Arrêts tram L1 Duchesse-Anne et gare Nord à 600 m / arrêt tram L2 et L3 commerce à 1 km.

Nombreux bus en centre-ville (commerce, place Foch, place du cirque, 50 otages).

4 stations de bicloo (vélos) à proximité.

Ecoles :

Plusieurs crèches, écoles maternelles et primaires dans le quartier (privée et publique).

Plusieurs collèges à moins de 15 min à pied (privé et public).

Plusieurs lycées à moins de 10/15 min à pied (privé et public).

Pôle universitaire à moins de 30 min (accès par le tram L2).

 

Petites histoires des rues de NANTES-EST (partie 1)

Boulevard Jules Verne

Cette importante artère a pris sa dénomination en 1961, rendant hommage à Jules Verne, né le 8 février 1828 dans le quartier de l’île Feydeau à Nantes. L’écrivain visionnaire vivra vingt ans dans sa ville natale, en passant par l’école Saint-Stanislas et le lycée Clémenceau ; avant de partir vivre à Paris. Il y travaillera comme secrétaire au Théâtre Lyrique en 1852. Son premier roman « cinq semaines en ballon », paraîtra en 1863. Il vivra alors de sa plume et écrira ses « voyages extraordinaires » durant quarante ans qui compteront 64 volumes. Il deviendra l’auteur français le plus traduit dans le monde. Il s’éteindra le 24 mars 1905 à l’âge de 77 ans.

Jules Verne reviendra à Nantes pour la dernière fois en 1887 afin de régler la succession de sa défunte mère et vendre sa maison de Chantenay.

Depuis 2012, un pôle Jules Verne est imaginé sur la butte Saint-Anne, avec le musée de la maison Mauresque, le planétarium et la maison de l’Hermitage.

Rue du Général Buat

La municipalité décida d'attribuer ce nom à cette rue en 1927. Edmond Buat est né en 1868 à Châlon sur Marne et finira ses études à Nantes. Directeur de cabinet du ministre de la guerre Alexandre Millerand, il sera nommé Chef d’état-major général des armées en 1920 après avoir organisé la manœuvre défensive des armées françaises lors des dernières offensives allemande en 1918. Il s’éteindra brutalement en 1923.

Rue Desaix

En 1882, cette rue sera baptisée en l'honneur de Louis Charles Antoine Desaix, général français qui trouva la mort en 1800 lors de la bataille de Marengo en Italie.

Né le 17 août 1768 au château d’Ayat-sur-Sioule, ce général s’illustrera lors de nombreuses guerres révolutionnaires et sous les ordres de Bonaparte en Italie et en Egypte. Il sera surnommé le « le Sultan juste ».

Boulevard des Poilus

Son nom actuel lui a été donné en 1918 par la mairie, en hommage aux soldats français de la Première Guerre mondiale qui venait juste de prendre fin, soldats que l'on surnomma les « Poilus ».

Boulevard de Doulon

Son nom lui a été attribué en 1908 par la mairie, peu après l'annexion de la commune de Doulon à la ville de Nantes. Le boulevard fut construit à l'initiative de la ville de Nantes qui souhaitait alors relier la commune de Doulon à celle de Chantenay. Les doulonnais y voyaient là une atteinte à l'indépendance de leur commune. Finalement, Doulon accepta, deux ans plus tard, l'aménagement du boulevard sur le territoire communal, à la condition que les travaux soient entièrement à la charge de la ville de Nantes.

Rue de Coulmiers

Ce nom lui a été donné le 18 août 1874, en commémoration de la bataille qui, le 9 novembre 1870, vit la victoire de l'armée française sur les troupes bavaroises lors de la guerre franco-allemande.

Ce quartier abritait de nombreux foulonniers, puisqu'à cet endroit le terrain était glaiseux, et donc favorable à l'activité de ces derniers (ouvriers qui battaient ou foulaient dans l’argile les draps et la laine tissée pour les assouplir et les dégraisser).

La suite des histoires au prochain épisode…

Ancienne commune semi-rurale, très dépendante de l'évolution de Nantes, Rezé s’est depuis fortement urbanisée. Elle s’est développée autour de ses différents bourgs et hameaux, et est la 4ème commune la plus peuplée du département de Loire-Atlantique. Alors si vous aussi vous souhaitez déménager dans cette ville, ou si vous hésitez encore, on vous propose un focus sur son atmosphère, ses différents quartiers et son marché immobilier !

REZÉ : TROISIÈME COMMUNE DE L’AGGLOMÉRATION NANTAISE

 

Aujourd’hui, la ville de Rezé est l’une des villes phares de la métropole nantaise. Elle est la troisième plus grande ville de l’agglomération. Ancienne cité fondée sur le commerce maritime et fluviale, Rezé compte 4 856 entreprises, dont 16,5% dans la location et exploitation de biens immobiliers propres ou loués, 6,9% dans la culture, 6,6% dans les activités des autres organisations associatives, 5,6% dans la santé et 3,8% dans le commerce.

Rezé fut la ville choisie par l’architecte le Corbusier pour construire sa célèbre Maison Radieuse, Immeuble devenu un véritable lieu de vie aux cours des années.

REZÉ : UNE VILLE OÙ IL FAIT BON VIVRE

Rezé comme nous l’avons évoqué, fait partie de ces villes du Sud-Loire qui offrent un cadre de vie idéal. Très demandée de par sa qualité de vie, mais aussi pour son ambiance conviviale, elle offre un accès direct à Nantes mais aussi aux villes périphériques comme Saint-Sébastien-sur-Loire, Vertou, les Sorinières ou encore Bouguenais, avec son aéroport. En effet, elle est desservie par le réseau de transport en commun Tan (ligne 2 et 3 du tramway, bus et chronobus).

Située à quelques minutes du centre-ville de Nantes, les 42 287 Rezéens bénéficient d’un cadre de vie agréable et paisible aux portes de Nantes. Entourée de nombreux cours d’eau et de chemins, la commune de Rezé est propice aux promenades en bord de Sèvre.

De plus, l’offre commerciale y est en effet très étendue avec deux centres commerciaux, de nombreuses boutiques, mais aussi une large offre culturelle et sportive : salle de spectacle, cinéma, piscine, …

En résumé, il fait bon vivre à Rezé !

Désormais, découvrez ses principaux quartiers: Trentemoult, Trocardiére, Quartier de la Mairie, Pont Rousseau, Blordiére, Ragon et la Houssaie. 

DÉCOUVREZ LES DIFFÉRENTS QUARTIERS DE REZÉ

Au confluent de la Loire et de la Sèvre, la commune de Rezé s’étend sur 1 543 hectares et compte sept quartiers. Chaque quartier ayant sa propre personnalité, l’ensemble a donné une identité originale à la 3ème commune de l’agglomération.

Trentemoult-Les Isles, le village de pêcheurs

Trentemoult-Les Isles est le 1er quartier situé le plus au nord de Rezé, en bord de Loire. Historiquement, ce secteur était composé de 4 îles où les bateaux en bois étaient construits: Haute-île, Basse-île, Norkiouse et la plus connue, Trentemoult.

Cette dernière est aujourd’hui très prisée par les artistes du fait de son histoire, de ses maisons colorées et de son esprit atypique. Ancien village de pêcheurs, le lieu est devenu très touristique tout en conservant son réel esprit de village. Il n’est pas rare de voir des badauds du coin revenir d’année en année pour flâner dans les ruelles étroites à la recherche de nouvelles expressions artistiques exposées sur les murs, les pavés ou encore les portes d’entrée.

Au-delà de cet endroit surprenant, on y retrouve tout près une atmosphère complètement différente, avec notamment la zone commerciale d’Atout Sud, riche de commerces et de grandes enseignes.

En vous aventurant près de la Basse île, vous tomberez sur Transfert & co, une zone libre d’art et de culture, où l’expérimentation artistique est le maître mot. En résumé, un quartier qui regorge de petites pépites.

Rezé-Hôtel de Ville : le quartier de la mairie

Information atypique : Rezé ne possède pas de centre-ville ! Le quartier de l’Hôtel de Ville, situé au nord-est de Rezé, est donc considéré comme tel car il possède le centre administratif de la ville, avec tous les services municipaux, ainsi qu’une église. C’est également dans ce quartier qu’on retrouve la fameuse Maison Radieuse du Corbusier, construite en 1955. Unité d’habitation, elle compte 264 logements et une école maternelle à son sommet. 

En vous baladant un peu plus dans le quartier, vous tomberez également sur Le Chronographe, Centre d’Interprétation Archéologique, qui retrace la découverte de la ville antique de Ratatium, située dans le sous-sol de Rezé. L’exposition permanente est ludique et ravira toute la famille !

Axe principal pour mener à la route de Pornic, ce quartier est actuellement en profonde réinvention pour retrouver l’esprit village qui lui est cher tout en proposant une offre de logements plus confortables et plus adaptés aux normes environnementales.

Trocardière : le quartier des sports

Amoureux du sport, ce quartier va vous plaire ! C’est ici que se situe la fameuse salle omnisports de la Trocardière, très bien desservie par les transports en commun. Elle a accueilli L’HBC Nantes en équipe résidente pendant 3 ans, et elle accueille depuis 2018 le Nantes Rezé Basket. Des rencontres sportives de haut niveau tout près de chez vous ! Un peu plus loin, vous arriverez au Stade Léo Lagrange, à la Patinoire de Rezé ainsi qu’à la Piscine Victor-Jara. Un quartier idéal pour les sportifs !

Il faut savoir que ce quartier offre un accès direct au périphérique et à l’aéroport de Nantes Atlantique. Pratique pour vos futurs voyages ! Et si vous êtes plutôt attirer par la nature et les longues promenades , alors vous pouvez tout simplement profiter d’une balade près du ruisseau de la Jaguère, qui passe le long de la salle omnisports, et qui mène du sud de la ville jusqu’à Trentemoult.

Côté famille, La Trocardière est tout proche de deux grands lycées : le lycée général Jean Perrin et ses 1 270 élèves et le lycée technologique Louis-Jacques Goussier, fréquenté par 720 élèves. De quoi donner encore plus de vie au quartier !

Pont-Rousseau

Connu pour sa gare et ses lignes de tramway desservant le quartier, Pont-Rousseau se situe à l’extrémité ouest, à la limite avec Saint Sébastien et Nantes, séparés par la Sèvre Nantaise. Il est la porte d’entrée de la ville. C’est un quartier emblématique.

Ancien poumon économique, le quartier de Pont-Rousseau est desservi par l’Avenue de la Libération qui mène jusqu’à la place du 8 mai, et son fameux marché. Pour les amoureux du spectacle vivant, si vous continuez un peu plus loin, vous retrouverez la fameuse Soufflerie, l’Auditorium et la Barakason. Avec une programmation éclectique, ces lieux sont réputés sur l’agglomération.

Le quartier est également desservi par la Rue Jean Jaurès et la Rue Aristide Briand, des axes très vivants menant au micro-quartier de Saint-Paul, avec son église et ses nombreux commerces, ses restaurants, son cinéma et son théâtre.

Pont-Rousseau est idéal pour ceux qui aiment avoir tout à portée de main ! Petits supermarchés, épiceries bio, boulangeries, restaurants, cafés, pharmacies, parcs… des commodités essentielles et hyper accessibles dans ce quartier, sans oublier l’hôpital privé Le Confluent.. On y retrouve également le Collège Pont Rousseau, le Lycée Professionnel Notre-Dame et les écoles publiques maternelle et élémentaire Roger Salengro. En bref, on pourrait qualifier de « centre-ville » ce quartier si dynamique et vivant !

La Blordière : le quartier en bord de Sèvre

Situé aux bords de la Sèvre, le quartier de La Blordière offre un cadre idyllique. Réputé par son fameux parc de la Morinière, de somptueuses balades à pieds ou à vélo, vous mènent jusqu’au Manoir du Petit Choisy.

La Blordière est également connu pour sa grande vie associative ! Eh oui, le centre socioculturel Jaunais-Blordière propose de nombreuses activités qui ravira les petits…comme les grands ! De la chorale, en passant par la marche nordique, la sophrologie ou encore des arts graphiques, il y en a pour tous les goûts !

Et si ça ne vous convainc pas encore, ce quartier abrite également l’Université Catholique de l’Ouest et le Centre National de Formation de l’Enseignement Technique Privé ! À la fois dynamique et familial, La Blordière est un endroit rêvé pour déposer ses valises.

Ragon : un quartier vivant et dynamique

Quartier le plus étendu et le plus au sud de la ville de Rezé, Ragon est majoritairement connu pour sa grande Galerie Océane, qui regroupe de nombreuses enseignes, mais également pour le carrefour qui mène à la sortie de la ville, par la Porte de Rezé, vers le périphérique.

En vous baladant, vous pourrez profiter de la Butte de Praud et son célèbre Parc, point le plus haut de la ville qui servi de point stratégique pendant la seconde guerre mondiale. Un manoir s’y trouve, datant du début XVIIe siècle.

On ne dirait pas comme ça, au premier abord, mais le quartier Ragon est bien un quartier familial, qui ne se résume pas qu’à ses zones d’activités. Il regroupe d’anciens villages, et aujourd’hui, le Centre Socioculturel permet aux familles de se divertir grâce à de nombreuses activités. Point bonus pour les sportifs : Le Gymnase Arthur-Dugast, situé dans le quartier, accueille plusieurs rencontres nationales !

La Houssais : quartier résidentiel et plus calme

Secteur plus calme et résidentiel de Rezé, la Houssais est surtout réputé pour ses architectures comme La Pirotterie, pavillon de compostage mêlant style industriel, contemporain ou plus scandinave.

On y retrouve également le secteur des Trois-Moulins, situé sur la grande rue très passante d’Aristide Briand, qui relie Pont-Rousseau à la Porte de Rezé (sortie périphérique sud).

La Houssais est parfait pour celles et ceux qui recherchent du calme, loin de l’effervescence du grand centre-commercial Océane dans le quartier Ragon, ou du quartier de la Trocardière, plus dynamique. Un des points positifs de La Houssais : la Pizzeria « Pizza Tradition Rezé », que nous recommandons les yeux fermés. Un vrai délice !

LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER À REZÉ

Pour acheter une maison sur la commune de Rezé, retrouvez nos annonces et informations sur le marché immobilier à Rezé. Il faut compter un prix médian au mètre carré de 3 584 euros, marqué par une hausse significative de 14,7% sur un an entre 2019 et 2020. Pour un appartement, ce prix est un peu moins élevé et s’établit à 3 284 euros (+ 9% sur un an). Les prix des locations de maisons dans le secteur sont également en augmentation de 11,9% sur un an, et le prix du mètre carré s’élève actuellement à 12.03 euros.